La formation mise en effet sur de nombreux travaux pratiques, structurés autour d’un socle commun d’enseignements, et sur un accompagnement régulier assuré par des intervenants professionnels de la branche étudiée. Avec 22 à 26 semaines de stage en entreprise ainsi que 600 heures de projet tutoré au programme, la formation consacre un volume horaire important à cet objectif de professionnalisation. Si la poursuite d’études en Master (université, école d’ingénieurs ou écoles de commerce et de gestion…) est tout à fait envisageable, le BUT s’adresse donc avant tout à des profils souhaitant se professionnaliser rapidement.
La formation se répartie en 24 mentions, couvrant un panel de métiers assez large : carrières sociales, carrières juridiques, gestion administrative et commerciale des organisations, gestion des entreprises et administrations, techniques de commercialisation, information communication, packaging emballage et conditionnement, informatique, statistiques et informatique décisionnelle, métiers du multimedia et de l’internet, mesures physiques, chimie, génie chimique – génie des procédés, génie biologique, génie électrique et information industrielle, qualité – logistique industrielle et organisation, réseaux et télécommunications, science et génie des matériaux, métiers de la transition et de l’efficacité énergétiques, génie civil – construction durable, génie industriel et maintenance, management de la logistique et des transports, génie mécanique et productique, hygiène sécurité environnement.
L’intégration d’un BUT se fait sur dossier (bulletin scolaire, tests, entretiens de motivation), avec le baccalauréat, sur la plateforme d’admission Parcoursup. À noter que la moitié des places sont réservées aux bacheliers technologiques. Les titulaires d’une mention bien ou très bien au baccalauréat technologique sont automatiquement admis dans les BUT auxquels ils ont candidatés.