Du BTS MCO au Bac +5 à l’IFAG : un parcours d’évolution professionnelle

De plus en plus d’étudiants issus d’un BTS Management Commercial Opérationnel (MCO) choisissent désormais de poursuivre leurs études jusqu’au bac +5. Longtemps peu répandue, cette trajectoire s’impose aujourd’hui comme une manière progressive et cohérente de construire son avenir, pas à pas. Alternance, expérience professionnelle, montée en compétences… ce parcours reflète une ambition claire : ne plus opposer études courtes et études longues, mais en faire un véritable continuum.

Pour mieux comprendre ce parcours et les atouts d’une école comme l’IFAG dans cette trajectoire, Thotis a rencontré Myriam, ancienne étudiante du cursus qui poursuit aujourd’hui ses études en Bac+3 à l’IFAG.

Article communiqué en partenariat avec l’IFAG

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Le BTS MCO, un tremplin concret vers le monde professionnel

Le BTS MCO attire chaque année de nombreux étudiants pour son côté professionnalisant. Il permet en effet de plonger rapidement dans la réalité du terrain, tout en développant des compétences en commerce, management et gestion. Myriam nous partage les raisons qui l’ont poussée à choisir le BTS MCO : « Je voulais une formation concrète, qui me plonge rapidement dans la réalité du travail. » Après un bac général avec des spécialités SES et AMC (Anglais Monde Contemporain), elle a fait le choix du BTS MCO plutôt que du NDRC. Une décision mûrement réfléchie : « Le

MCO est plus orienté management et gestion d’équipe ; les clients viennent à nous, tandis que le NDRC est plus orienté prospection et négociation pure. J’ai choisi le MCO après avoir échangé avec un ancien élève de l’IFAG qui m’a dit que c’était un BTS très complet et polyvalent. »

Une transition en douceur du lycée aux études supérieures

Pour les bacheliers généraux qui s’inquiéteraient de leur capacité à suivre un BTS MCO, Myriam se veut rassurante tout en restant honnête : « Un bac général ne ferme pas du tout les portes du BTS MCO, mais il faut être prêt à un petit temps d’adaptation la première année. » Elle reconnaît qu’un bac STMG offre une meilleure préparation, mais note que la SES a constitué une aide précieuse dans son parcours.

La transition lycée-études supérieures s’est globalement bien passée : « Le BTS reste assez cadré, un peu comme le lycée, mais avec un vocabulaire plus technique et la nécessité d’être curieux. Il faut aller chercher des infos, se renseigner, être proactif. » Le véritable défi réside dans l’organisation, particulièrement pour les étudiants en alternance qui doivent trouver un équilibre entre travail et cours.

L'alternance, clé de la professionnalisation

L’un des principaux atouts du BTS MCO est l’alternance. Myriam a effectué ses deux années chez Decathlon, en tant que vendeuse omni-commerçante, où elle a développé des compétences en vente mais aussi en B2B. « L’alternance m’a énormément fait grandir. J’ai appris à gérer mon stress, à m’adresser à des clients, à travailler en équipe », confie-t-elle.

Son conseil aux lycéens hésitants est sans appel : « S’il aime le commerce et qu’il veut des études concrètes, qu’il fonce ! Et s’il hésite, je lui conseille l’alternance. Ça permet d’apprendre sur le terrain, de moins se lasser des cours, et à la fin, on sort avec un vrai diplôme et une belle expérience. » Elle insiste d’ailleurs : « L’alternance, il faut vraiment y aller. C’est la meilleure façon de lier théorie et pratique. »

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Les atouts distinctifs de l'IFAG

Une pédagogie innovante centrée sur les soft skills

Ce qui distingue l’IFAG dans le paysage des formations en BTS MCO, c’est notamment son cursus HEP, conçu pour développer les soft skills des étudiants. Myriam se souvient particulièrement d’un atelier marquant : « On avait notamment un atelier de slam pour apprendre à s’exprimer à l’oral ! C’était super original et très utile, ça nous a vraiment aidés à prendre confiance à l’oral. »

Ces initiatives pédagogiques encouragent les étudiants à sortir de leur zone de confort et à révéler leur potentiel. Au-delà des compétences techniques en commerce et management, l’IFAG mise sur le développement personnel et la communication orale, des compétences essentielles dans le monde professionnel.

Un accompagnement pédagogique à taille humaine

L’un des points les plus appréciés par les étudiants de l’IFAG est la qualité de l’accompagnement. « L’équipe pédagogique, sans hésiter. Ils sont hyper à l’écoute, jeunes, proches de nous. On peut aller les voir pour parler, même quand on stresse avant un examen. Ils sont réactifs, toujours dans la recherche de solutions », témoigne Myriam.

Cette proximité se traduit concrètement dans l’accompagnement des étudiants : « C’est une super école en termes d’accompagnement. Ils sont vraiment présents pour nous aider, corriger nos CV, nous soutenir. C’est une école à taille humaine, bienveillante, et ça, ça change tout. »

Une vie étudiante dynamique

Au-delà de l’aspect académique, l’IFAG offre également un cadre de vie étudiant attractif. Sur le campus de Nantes, plusieurs écoles sont réunies, ce qui permet la création d’un BDE commun avec de nombreux événements, soirées et ateliers. « L’ambiance est vraiment sympa », souligne Myriam.

La poursuite d'études après le BTS : une stratégie gagnante

Pourquoi ne pas s’arrêter au Bac+2 ?

Si le BTS MCO offre une excellente insertion professionnelle immédiate, s’arrêter à ce niveau peut limiter les perspectives d’évolution à moyen et long terme. Poursuivre ses études jusqu’au Bac+5 présente des avantages considérables en termes de responsabilités et d’expériences professionnelles. Les diplômés de BTS accèdent généralement à des postes opérationnels : vendeur, assistant manager, chargé de clientèle. Des fonctions essentielles, certes, mais qui offrent une marge de progression limitée. À l’inverse, un parcours jusqu’au Bac+5 permet d’accéder directement à des postes d’encadrement et de management stratégique : directeur d’agence, responsable de réseau, manager de centre de profit, responsable RH ou marketing.

L’expérience accumulée pendant ces années supplémentaires en alternance constitue un atout majeur. Là où un diplômé de BTS aura deux ans d’expérience, un diplômé de Bac+5 en aura cinq, avec une progression dans les responsabilités confiées. Cette différence est déterminante sur le marché de l’emploi et dans les négociations salariales.

Myriam résume bien cet enjeu : « Continuer après mon BTS puis mon Bac+3 c’est me donner la possibilité d’évoluer plus vite. Le BTS m’a donné la base opérationnelle, maintenant je veux comprendre la stratégie d’entreprise. »

Le Bac+3, une étape d'approfondissement

Après deux années de BTS, beaucoup d’étudiants de l’IFAG choisissent de poursuivre en Bac+3, dans la continuité de leur parcours. Pour Myriam, la décision de continuer était évidente : « Ce n’est pas obligatoire, mais je trouve que c’est dommage de s’arrêter quand on est lancé. Continuer, ça permet d’approfondir et d’accéder à des postes à plus grande responsabilité. »

Elle insiste sur l’importance de bien choisir sa spécialisation : « Je conseille d’ailleurs de choisir une formation spécialisée, pas trop générale, pour se différencier ensuite. »

Actuellement en Bac+3 (anciennement Bachelor) « Responsable d’activité », un cursus autour du commerce et du management, elle reconnaît qu’il y a « pas mal de redite avec le BTS », ce qui la conforte dans l’idée qu’une spécialisation plus marquée aurait été préférable.Le Bac+3 ouvre des débouchés vers des postes tels que chargé de clientèle, assistant manager, responsable adjoint, chargé de communication, assistant marketing ou encore commercial terrain. Certains choisissent aussi l’entrepreneuriat ou les concours de la fonction publique.

Le Bac+5 pour se spécialiser et viser la stratégie

Le passage vers un Bac +5 représente un véritable saut qualitatif dans la trajectoire professionnelle. C’est à ce niveau que s’opère la transformation d’un profil opérationnel vers un profil stratégique, capable de comprendre les enjeux globaux d’une entreprise et de prendre des décisions d’envergure.

« Continuer après mon BTS puis mon Bac+3 c’est me donner la possibilité d’évoluer plus vite. Le BTS m’a donné la base opérationnelle, maintenant je veux comprendre la stratégie d’entreprise », explique Myriam. Cette évolution ne se limite pas à l’acquisition de connaissances théoriques supplémentaires : elle se traduit concrètement par l’accès à des fonctions de management plus élevées et à des responsabilités élargies.

En alternance durant ces années de Bac+5, les étudiants ne sont plus cantonnés à des tâches d’exécution. Ils participent à l’élaboration de la stratégie commerciale, pilotent des projets d’envergure, encadrent des équipes et prennent des décisions qui impactent directement les résultats de leur entreprise. Cette expérience est irremplaçable et valorisée par les recruteurs.

Les ambitions professionnelles de Myriam illustrent bien cette montée en compétences : « J’aimerais être directrice adjointe dans une PME ou responsable marketing/communication. J’aime bien être au cœur de l’action et encadrer une petite équipe. » Des postes difficilement accessibles avec un simple BTS, mais à portée de main avec un Bac+5 et cinq années d’alternance au compteur. Pour y parvenir, elle envisage de se spécialiser soit dans le marketing, soit dans les achats, avec des perspectives de postes comme acheteuse ou responsable marketing.

Des masters variés aux débouchés concrets

À l’IFAG, la poursuite d’études jusqu’au bac +5 ouvre la porte à plusieurs spécialisations selon les envies et les projets de chacun.

Parmi les formations les plus choisies :

Le Bac+5 Manager de Commerce et de Centre de Profit, qui forme à la gestion d’une unité commerciale, au pilotage de la performance et au management d’équipes.

Ce cursus permet d’accéder à des postes à fortes responsabilités comme directeur d’agence, responsable de réseau ou manager de centre de profit.Le Bac+5 Manager des Ressources Humaines, qui prépare aux métiers liés à la stratégie RH, à la gestion des talents ou à la marque employeur. Les diplômés peuvent ainsi devenir responsable RH, consultant en développement des compétences ou chef de projet RH.

Ces parcours, proposés en alternance ou en formation initiale, offrent un excellent équilibre entre théorie et pratique. Ils permettent d’acquérir une vision globale de l’entreprise et de se positionner sur des postes stratégiques, tout en valorisant l’expérience acquise pendant le BTS et le Bac+3.

Un parcours complet qui fait la différence sur le marché du travail

Les étudiants qui ont choisi ce parcours insistent sur l’importance de l’audace et de la curiosité. Le BTS est une excellente base, mais il ne doit pas être perçu comme une fin en soi. « Le BTS est une super porte d’entrée. On apprend vite, on se professionnalise, mais surtout, on se découvre », affirme Myriam.

La vraie force de ce parcours réside dans sa progressivité. Chaque étape a sa valeur et prépare à la suivante : le BTS donne les bases opérationnelles et permet de découvrir le terrain, le Bac+3 renforce la maturité professionnelle et commence à ouvrir vers des fonctions d’encadrement, le Bac+5 développe la réflexion stratégique et donne accès aux postes à responsabilités.

Cette montée en compétences s’accompagne d’une accumulation d’expériences de plus en plus qualifiantes. Un étudiant qui poursuit jusqu’au Bac+5 en alternance cumule cinq années d’expérience professionnelle, avec des missions de plus en plus complexes et des responsabilités croissantes. Sur un CV, cette trajectoire démontre non seulement des compétences solides, mais aussi de l’ambition, de la persévérance et une capacité d’évolution.

L'alternance, le fil rouge du succès

L’alternance apparaît comme le fil rouge de ce parcours. Être directement confronté à la réalité du métier pendant cinq ans permet d’acquérir une expérience incomparable et de se démarquer significativement sur le marché du travail. « C’est la meilleure façon de comprendre ce qu’on aime et ce qu’on n’aime pas », constate Myriam.

Au-delà de l’aspect technique, l’alternance sur la durée forge une véritable posture professionnelle. Les étudiants apprennent à gérer des projets de bout en bout, à prendre des décisions, à assumer des responsabilités managériales. Autant d’atouts qui font la différence lors d’un recrutement face à des candidats ayant un parcours uniquement théorique ou une expérience professionnelle limitée.

Conclusion

Le BTS MCO à l’IFAG constitue aujourd’hui une porte d’entrée privilégiée vers le monde professionnel. Cette formation professionnalisante permet aux étudiants d’intégrer rapidement le marché du travail, tout en développant des compétences opérationnelles très recherchées. Mais la véritable valeur ajoutée réside dans la possibilité de poursuivre jusqu’au Bac+5.

Ce parcours long offre des avantages décisifs : des responsabilités progressives, cinq années d’expérience en alternance, une évolution du profil opérationnel vers le profil stratégique, et l’accès à des postes d’encadrement dès la sortie d’études. Là où un diplômé de BTS devra gravir les échelons pendant plusieurs années, un diplômé de Bac+5 commencera directement sa carrière à un niveau supérieur.

Ce qui distingue l’IFAG, c’est la qualité de son accompagnement pédagogique, son approche innovante du développement des soft skills et sa capacité à offrir un parcours complet du BTS au Bac +5. Dans un environnement à taille humaine, les étudiants bénéficient d’un suivi personnalisé qui facilite leur progression académique et professionnelle sur la durée.

« Au début, je voulais juste avoir un diplôme pour travailler. Aujourd’hui, je veux comprendre, diriger et continuer à apprendre », confie Myriam. Cette évolution illustre parfaitement la transformation que permet un parcours long dans une école comme l’IFAG : passer du statut d’exécutant à celui de décideur, construire progressivement son projet professionnel et développer une véritable ambition stratégique. Un investissement en temps qui se traduit par un gain considérable en termes de carrière et de perspectives professionnelles.

 

Article communiqué en partenariat avec l’IFAG

 

Crédit : Vitaly Gariev