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Les études d’ambulancier
Les études d’ambulancier après le baccalauréat (ou sans bac selon profils) se préparent en instituts de formation d’ambulanciers (IFA), hors Parcoursup, avec une admission spécifique (dossier/épreuves/oral). On distingue le Diplôme d’État d’Ambulancier (DEA) et la formation d’Auxiliaire ambulancier (AA) ; l’apprentissage est possible selon les régions et structures d’accueil.
Ces parcours combinent secourisme & AFGSU, anatomie/sémiologie de base, hygiène–prévention des risques, manutention & brancardage, réglementation du transport sanitaire, communication/régulation et relation d’aide, avec cours, TP, simulation et stages en SMUR/SAMU, services hospitaliers et entreprises de transport sanitaire.
Ils couvrent des domaines comme la prise en charge préhospitalière, le transport sanitaire programmé ou d’urgence, la sécurité routière et la coordination avec les équipes de soins, et mènent à une insertion professionnelle rapide (entreprises privées, hôpitaux, cliniques), avec des évolutions possibles (ambulancier SMUR, régulation médicale, formations complémentaires, VAE).
Pourquoi choisir le DEA ou l’auxiliaire ambulancier ? Quelles conditions d’accès (permis, aptitudes, vaccinations), quels rythmes et contenus selon l’IFA ? Quelles perspectives (SMUR, régulation, insertion) ? Voici l’essentiel pour comprendre les voies du métier d’ambulancier et faire le bon choix d’orientation.
Des parcours variés en études d’ambulancier :
Deux voies principales (DEA, AA) et des compléments pour évoluer selon ton projet.
- Diplôme d’État d’Ambulancier (DEA) : en institut agréé avec sélection (dossier/tests/oral) ; alternance cours–simulation–stages en services de soins et transport.
- Auxiliaire ambulancier (AA) : cursus court pour travailler en binôme avec un DEA ; focus secours, hygiène, transport, gestes d’urgence ; admission locale.
- Évolutions & compléments : AFGSU, conduite/sécurité ambulance, régulation, VAE et passerelle AA→DEA selon profil.
Objectif : une insertion rapide en transport sanitaire et des perspectives d’évolution (DEA, régulation, tutorat).
Au programme en études d’ambulancier :
Les formations DEA/AA développent des bases en physiopathologie de l’urgence, gestes et soins d’urgence, hygiène–prévention, réglementation du transport, sécurité routière, ergonomie–manutention et transmissions, via CM, TD/TP, simulation et stages.
- DEA : alternance institut/terrains, modules évaluation & prise en charge, AFGSU, hygiène–sécurité, transport & brancardage, topographie ; contrôle continu et stages encadrés.
- AA : rôle d’équipier (sécurité/confort du patient), hygiène, manutention, AFGSU, conduite ; évaluations pratiques et possibilité d’évoluer vers le DEA.
- Compléments : conduite d’urgence, régulation, prise en charge de publics spécifiques, formation continue.
Un rythme à temps plein alterne cours/TP/simulation et stages, pour une insertion rapide en transport sanitaire ou établissements de santé.
Comprendre les parcours : DEA, Auxiliaire ambulancier, formations complémentaires
Besoin d’aide pour choisir entre le Diplôme d’État d’Ambulancier (DEA), le statut d’Auxiliaire ambulancier (AA) et les formations complémentaires (Conduite & sécurité ambulance, Urgences préhospitalières / Habilitation SMUR, Transports spécifiques pédiatrie/néonatal) ? Voici un aperçu clair pour comprendre objectifs, modalités (cours, simulation, stages) et débouchés.
DEA (Diplôme d’État d’Ambulancier) vs Auxiliaire ambulancier (AA) : quelles différences ?
DEA : formation en institut agréé, admission sélective, alternance cours/TP/simulation et stages. Missions : prise en charge globale du patient, conduite en priorité, gestes d’urgence, transmissions, hygiène et sécurité. Responsabilités accrues et meilleure autonomie.
AA : cursus court centré sur le rôle d’équipier, hygiène, manutention, sécurité et aide au transport. Pas tous les actes ni les mêmes responsabilités que le DEA. Accès et sélection locaux selon centres et employeurs.
En résumé : choisis le DEA si tu vises l’autonomie et la responsabilité complète en urgence ; opte pour l’AA pour une entrée rapide comme équipier en transport sanitaire, avec possibilité d’évoluer ensuite vers le DEA (expérience, dispenses/VAE selon centres).
DEA (ambulancier) vs conducteur VSL : que choisir ?
Ambulancier (DEA) : soins et transport en position allongée/assise, situations d’urgence, surveillance, gestes adaptés et conduite d’ambulance en sécurité.
Conducteur VSL : transport assis professionnalisé (consultations, dialyse…), rôle centré sur la conduite, l’installation et la sécurité du patient sans actes d’urgence. L’employeur peut exiger des attestations (ex. formation d’auxiliaire, hygiène, sécurité) selon le poste.
En résumé : vise le métier d’ambulancier (DEA) si tu veux intervenir en urgence avec des gestes de soins et une responsabilité clinique élargie ; opte pour conducteur VSL si tu préfères le transport assis et l’accompagnement sécurisé sans réalisation d’actes d’urgence.
DEA vs DEAS (aide-soignant) : quelles différences ?
DEA : préhospitalier et mobilité (appui SAMU/SMUR, services d’urgences, transferts inter-établissements, entreprises de transport sanitaire). Focus : transport sécurisé, secours à personne, transmissions.
DEAS : exercice principalement en établissements (hôpital, EHPAD, SSR). Focus : soins d’hygiène et de confort, aide à l’autonomie, surveillance et travail d’équipe soignante. Parcours, compétences et débouchés diffèrent ; des validations d’acquis peuvent être envisagées selon les cadres réglementaires.
En résumé : vise le DEA si tu souhaites intervenir en pré-hospitalier avec déplacements et gestion de l’urgence ; choisis le DEAS si tu préfères des soins d’accompagnement au sein d’établissements, au plus près du quotidien des patients.
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Etudes d'ambulancier (DEA) vs passerelle depuis AA (dispenses/VAE) : quel parcours choisir ?
Voie initiale DEA : parcours complet, idéal pour débuter sans expérience, avec une forte exposition clinique et un cadrage méthodologique solide.
Passerelle depuis AA : des allègements/dispenses de modules peuvent être accordés selon l’expérience et les textes en vigueur ; la VAE peut reconnaître des acquis. La sélection et le volume de formation restent définis par l’institut. À privilégier si tu es déjà en poste et souhaites monter en compétences en capitalisant ton expérience.
En résumé : choisis la voie initiale DEA pour un démarrage complet et intensif sans prérequis métier ; opte pour la passerelle depuis AA si tu es déjà en activité et veux évoluer vers le diplôme d’État en profitant de dispenses/VAE (selon instituts et réglementation).
Etudes d'ambulancier (DEA) vs secourisme & sapeurs-pompiers (PSE1/PSE2, SPV/SPP) : quelles différences ?
Certifications de secourisme (PSE1/PSE2) : elles valorisent la candidature (culture de l’urgence, techniques d’intervention, travail en binôme) et peuvent faciliter l’insertion en transport sanitaire ou la réussite aux sélections en institut. Elles ne remplacent pas le Diplôme d’État d’Ambulancier (DEA) et n’autorisent pas à exercer comme ambulancier diplômé d’État.
Engagement sapeurs-pompiers (SPV/SPP) : il atteste d’une expérience opérationnelle (alerte, gestes d’urgence, transmissions, sécurité) et renforce le dossier. Utile pour les mises en situation et l’employabilité, mais sans équivalence avec le DEA : la formation d’ambulancier reste obligatoire pour le titre et l’exercice.
En résumé : PSE1/PSE2 et un engagement SPV/SPP sont de vrais atouts pour candidater et débuter, mais aucun ne se substitue au DEA ; il faut obligatoirement valider le Diplôme d’État pour exercer comme ambulancier, les valorisations dépendant des instituts et des employeurs.
Questions fréquentes sur les études d’ambulancier (DEA / AA)
Tu veux en savoir plus sur les études d’ambulancier — Diplôme d’État d’Ambulancier (DEA) et Auxiliaire ambulancier (AA) ? On t’explique tout : organisation des cursus (cours, TP, simulation, stages en services et entreprises), différences DEA vs AA, rythmes de formation (alternance institut/terrain), modalités d’admission en IFA (sélection locale, permis B, aptitude médicale, vaccinations), financements (apprentissage, Région, OPCO/CPF), formations complémentaires (Conduite & sécurité ambulance, Urgences préhospitalières / habilitation SMUR, Transports spécifiques : pédiatrie/néonatal) et débouchés (transport sanitaire, hôpital/urgences, SMUR, régulation/dispatch). Découvre notre guide Études d’ambulancier (DEA/AA).
Quelles sont les conditions d’admission au Diplôme d’État d’Ambulancier (DEA) ?
L’accès au DEA se fait auprès des instituts de formation d’ambulanciers (IFA). Les prérequis les plus fréquents portent sur :
- Pièces administratives : pièce d’identité, CV, lettre de motivation, justificatifs scolaires.
- Permis B (souvent exigé à l’entrée ou au plus tard avant les stages), et aptitude médicale à la conduite d’ambulance délivrée par un médecin agréé.
- Vaccinations réglementaires et certificat d’aptitude médicale permettant les stages en milieu de soins.
- Selon IFA : attestation de natation non requise (métier non aquatique), casier judiciaire n°3, tests de positionnement.
À savoir : les exigences peuvent varier selon l’IFA (calendrier, pièces, formats d’épreuves).
Comment s’inscrire en Institut de Formation des Ambulanciers (IFA) : dossier, calendrier et épreuves de sélection ?
L’inscription se fait directement auprès de l’IFA (et non via Parcoursup). Le parcours type :
- Dossier en ligne ou papier (CV, motivation, pièces d’identité, justificatifs).
- Épreuves de sélection fixées par l’IFA : entretien de motivation, parfois tests (français, logique, mises en situation simples).
- Calendrier local : périodes de candidature, publication des résultats, rentrée (une à deux sessions/an selon l’IFA).
Consulte la page “Admission” de l’IFA ciblé pour les dates et modalités exactes.
Quelle est la durée et l’organisation de la formation d'ambulancier (cours/TP/simulation et stages) ?
La formation s’organise sur plusieurs mois, en alternance institut/terrains. Trame la plus fréquente :
- Enseignements : physiopathologie de l’urgence, gestes de premiers secours, hygiène–prévention, communication/transmissions, réglementation du transport sanitaire, topographie et manutention.
- TP & simulation : brancardage, relevage, conditionnement du patient, scénarios d’urgence.
- Stages : entreprises de transport sanitaire, services hospitaliers (urgences, SMUR/selon sites), SSR/EHPAD selon IFA.
Le rythme hebdomadaire alterne cours/TP et périodes de stage, avec évaluations continues et portfolio de compétences.
Où se déroulent les stages pendant la formation d'ambulancier et quels sont leurs objectifs ?
Les stages se déroulent généralement :
- En entreprises de transport sanitaire (activité ambulancière de terrain).
- Dans des services hospitaliers (urgences, plateaux techniques, parfois exposition SMUR selon partenariats locaux).
Objectifs : acquérir les gestes professionnels (sécurité, hygiène, manutention), la prise en charge globale du patient (surveillance, confort, transmissions), et la maîtrise des procédures propres au transport sanitaire.
Combien coûte la formation d'ambulancier et quelles solutions de financement existent ?
Les coûts de scolarité varient selon le statut (initial, alternance, reconversion) et l’IFA. Les pistes de financement courantes :
- Alternance/apprentissage si proposé localement (prise en charge des frais par l’employeur/OPCO).
- Dispositifs Région, Pôle emploi, CPF/Transitions Pro selon situation.
- Prise en charge employeur (salariés du secteur) ou financement personnel (échelonnement parfois possible).
Réfère-toi à la rubrique “Tarifs & financements” de l’IFA ciblé.
Quelles attestations liées à la conduite sont requises pour exercer le métier d'ambulancier ?
Outre le permis B, la profession exige en pratique :
- Une aptitude médicale à la conduite d’ambulance (visite chez un médecin agréé).
- Selon l’employeur : formations Conduite & sécurité ambulance (éco-conduite, conduite d’urgence en cadre sécurisé, maîtrise du véhicule et du brancardage).
Ces éléments visent la sécurité des patients et des équipages et peuvent conditionner l’embauche.
Quelles vaccinations et quels documents médicaux prévoir avant les stages en formation d'ambulancier ?
Les IFA demandent un certificat d’aptitude médicale et le respect des vaccinations obligatoires pour les terrains de stage (ex. hépatite B selon la réglementation en vigueur). Des attestations ou tests complémentaires peuvent être requis par certains établissements d’accueil.
La liste précise est fournie par l’IFA ou les terrains de stage ; anticipe pour ne pas retarder les affectations.
L’AFGSU est-elle intégrée ou nécessaire pour le DEA ?
Oui, la formation intègre ou requiert des compétences en gestes et soins d’urgence (niveau AFGSU 2 pour les professionnels en milieu de soins, selon l’IFA et le centre d’enseignement des soins d’urgence – CESU). Des mises à jour périodiques peuvent être demandées par les employeurs.
Peut-on travailler en SMUR/SAMU après le DEA ? Faut-il une habilitation spécifique ?
Des postes d’ambulancier existent en SMUR selon les établissements. L’accès passe souvent par :
- Le DEA + une expérience terrain significative.
- Une formation interne et/ou une habilitation SMUR propre au service (procédures, matériel, coordination avec l’équipe médicale).
Point clé : l’habilitation n’est pas un diplôme national séparé ; elle se fait à l’échelle du service employeur.
Quelles perspectives d’emploi et d’évolution après le DEA ?
Après le DEA, l’insertion se fait en entreprises de transport sanitaire, établissements de santé (services d’urgences, SMUR selon postes), et dans la filière médico-sociale (transferts, structures d’accueil). Évolutions possibles :
- Ambulancier coordinateur / régulation–dispatch.
- Référent hygiène–sécurité, tuteur de stagiaires.
- Formations complémentaires : Conduite & sécurité ambulance, Urgences préhospitalières/Habilitation SMUR, Transports spécifiques (pédiatrie/néonatal), etc.
Les passerelles et la VAE permettent, selon les textes et l’expérience, d’envisager d’autres évolutions de carrière.
Tu veux en savoir plus sur les formations complémentaires ambulancier — Conduite & sécurité ambulance, Urgences préhospitalières / Habilitation SMUR et Transports spécifiques : pédiatrie/néonatal ? On t’explique tout : objectifs et organisation (apports, ateliers, simulation), rythme (sessions courtes + recyclages), prérequis (DEA/AA, AFGSU à jour, aptitude médicale), modalités d’inscription (centres/instituts habilités, services hospitaliers partenaires), contenus clés (conduite en situation d’urgence, sécurité embarquée & arrimage, radio/transmissions, protocoles et coordination SMUR, thermoprotection néonatale, incubateur de transport), passerelles (habilitation locale, missions SMUR, transferts inter-établissements) et débouchés/évolutions (référent sécurité, régulation/dispatch, tutorat, spécialisation pédiatrie).
Organisation de la formation « Conduite & sécurité ambulance »
Cette formation complémentaire (1 à 3 jours selon centres) vise à sécuriser la conduite de véhicules sanitaires et la prise en charge du patient en déplacement. Elle alterne apports réglementaires, ateliers techniques (piste & voirie) et mises en situation avec retour vidéo.
📅 Un déroulé type de session :
- Briefing sécurité & réglementation : code de la route spécifique, signalisation VSL/ASSU, gyros & avertisseurs, responsabilités.
- Ateliers conduite sur piste : freinage d’urgence, évitement, trajectoires, adhérence (pluie/nuit) et gestion de charge.
- Manœuvres opérationnelles : approche site, stationnement sécurisé, retournement, chemins étroits, environnement urbain.
- Topographie & itinéraires : lecture de carte/GPS, choix de trajet, alternatives et points sensibles.
- Brancardage & arrimage : fixation patient/matériel, sangles, prévention des chutes et TMS.
⏳ Progression sur 1 à 3 jours :
- Jour 1 : fondamentaux sécurité/réglementation, conduite préventive, manœuvres lentes.
- Jour 2 : conduite en conditions dégradées (nuit/pluie), gestion du stress, communication radio.
- Jour 3 (si prévu) : scénarios complets (prise en charge, transfert, circulation), débriefing vidéo & plan d’amélioration.
🧪 Évaluations & expériences :
- Mises en situation chronométrées et check-lists sécurité.
- Études d’incidents (retours d’expérience), QCM réglementaire.
- Attestation ou certificat interne du centre (selon organisme).
🧠 Compétences développées :
- Conduite préventive & d’urgence adaptée au transport sanitaire.
- Arrimage du patient et du matériel, brancardage sécurisé, ergonomie.
- Choix d’itinéraires, communication (radio/téléphonie) et coordination terrain.
- Conformité réglementaire et réduction des risques (sinistralité, incidents).
Pour aller plus loin : découvre notre dossier Études d’ambulancier (DEA/AA) et les modules associés.
Formation complémentaire « Urgences préhospitalières / Habilitation SMUR »
Cette formation complémentaire s’adresse aux titulaires du DEA qui interviennent (ou vont intervenir) au sein d’unités SMUR/SAMU ou en appui des urgences. Elle vise la sécurisation des interventions, la coordination avec l’équipe médicale et la prise en charge du patient en contexte préhospitalier, via apports réglementaires, ateliers techniques et scénarios de simulation.
Socle & prérequis (selon centres)
- Profil : DEA en poste (expérience souhaitée), aptitude médicale et conformité vaccinale.
- Certifications : AFGSU 2 à jour (ou équivalent interne), conduite & sécurité ambulance recommandée.
- Cadre : convention/accord avec un établissement support (CH/CHU) ou une structure de transport sanitaire partenaire.
Modules & contenus (exemples)
- Organisation SAMU/SMUR : missions, responsabilités, traçabilité, radio/CTA-CODIS, sécurisation de scène.
- Évaluation initiale : bilan vital, triage et priorisation, gestion du temps critique (time dependent).
- Airway–Breathing–Circulation (rôle ambulancier) : oxygénothérapie, surveillance ventilatoire, aide à la pose/monitoring, préparation du matériel.
- Situations spécifiques : traumato (immobilisation, relevage, arrimage), cardio (SCA/ACR : chaîne de survie, DEA), pédiatrie/obstétrique, gériatrie, NRBC-élements d’alerte.
- Logistique & hygiène : circuit du matériel, asepsie, traçabilité médicaments/dispositifs (sous responsabilité IDE/MEDEC), préparation transferts inter-établissements.
- Manœuvres & sécurité : approche véhicule, zones à risque, extraction simple, coordination forces publiques.
Organisation & durée (indications)
- Format : présentiel alternant CM, ateliers et simulation haute/moyenne fidélité.
- Immersions : embarquements SMUR encadrés / observation active (selon sites).
- Durée : 2 à 10 jours selon centres, avec recyclage périodique recommandé.
Évaluations & habilitation
- Épreuves : QCM réglementaire, mises en situation scénarisées, débriefing et validation de gestes.
- Habilitation : attestation interne (service/établissement) pour missions SMUR, avec revalidation selon protocole local.
Compétences visées
- Coordination SMUR : communication radio, rôle en équipe médico-infirmière, transmissions fiables.
- Prise en charge sécurisée : conditionnement, immobilisation, arrimage patient/matériel, prévention des risques.
- Gestion opérationnelle : triage, choix d’itinéraire, préparation transfert secondaire, documentation.
Pour aller plus loin : parcours, prérequis et modules associés sur notre dossier Études d’ambulancier (DEA/AA).
Critères d’admission – Transports spécifiques : pédiatrie/néonatal
Cette formation complémentaire s’adresse aux titulaires du DEA (et, selon centres, aux AA en évolution de poste) intervenant auprès de nouveau-nés et d’enfants en transport sanitaire. Objectif : sécuriser la prise en charge, la thermorégulation et l’arrimage du matériel, en coordination avec les équipes de maternité/néonatologie et d’urgences pédiatriques.
Accès & prérequis (selon centres)
- Profil : DEA en poste (expérience souhaitée en urgences/transport), AA possible selon dispositif local.
- Certifications : AFGSU 2 à jour ; Conduite & sécurité ambulance recommandée.
- Médical : aptitude et conformité vaccinale requises pour l’accès aux services pédiatriques/néonataux.
- Cadre : convention avec un établissement support (maternité/Néonat/CH-CHU) ou une structure partenaire.
Modules « Pédiatrie & Néonatal » (exemples)
- Bilan initial pédiatrique : ABCDE adapté, constantes selon l’âge/poids, signes d’alarme, échelles de douleur adaptées.
- Néonatalogie : thermorégulation, gestion de l’incubateur de transport, oxygénothérapie et monitoring (aide/installation sous responsabilité médicale).
- Matériels & sécurité : nacelles/sièges homologués, immobilisation et arrimage patient/matériel, check-lists véhicule.
- Situations spécifiques : détresse respiratoire, déshydratation, convulsions fébriles, transferts inter-établissements (préparation/continuité des soins).
- Hygiène–prévention : asepsie, circuit du matériel, gestion des déchets, nettoyage-désinfection post-transport.
- Relation & transmissions : communication avec parents/enfant, transmissions structurées à l’accueil soignant.
Organisation & durée (indications)
- Format : présentiel alternant apports, ateliers et simulation (scénarios pédiatriques/néonataux).
- Immersions : observation encadrée en maternité/néonat ou urgences pédiatriques (selon sites).
- Durée : 2 à 5 jours selon objectifs et niveaux (initiation/perfectionnement), recyclage conseillé.
Évaluations & attestations
- Épreuves : QCM/quiz, mises en situation, débriefings, validation de procédures (arrimage, thermoprotection…).
- Attestation : délivrée par le centre/établissement support, avec modalités de revalidation définies localement.
Profils attendus & points clés
- Rigueur hygiéno-technique, précision des gestes et respect des protocoles.
- Communication adaptée (enfant/parents/équipe), gestion du stress et des priorités.
- Organisation : préparation du véhicule, continuité des soins, documentation et traçabilité.
À retenir : cette formation renforce la sécurité et la qualité des transports pédiatriques et néonataux : évaluation adaptée, thermoprotection, arrimage maîtrisé et coordination avec les équipes hospitalières.
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Comme tu as pu le voir précédemment, les études d’ambulancier t’offrent de très nombreuses opportunités dans des domaines très variés ! Fais notre Test des Métiers pour identifier un débouché qui te plaira.
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