Licence Sociologie

La licence Sociologie : organisation et débouchés

La Licence Sociologie est un diplôme universitaire de bac+3 (6 semestres / 180 ECTS) accessible après le baccalauréat via Parcoursup. Elle articule un socle commun en L1–L2 (théories sociologiques, méthodologie de l’enquête qualitative/quantitative, statistiques, ouverture à l’anthropologie, à la démographie et à la science politique) et une spécialisation progressive en L3 (travail, urbain, inégalités, genre, politiques publiques…), préparant à la poursuite d’études en master (sociologie, sciences sociales, urbanisme, IEP/Sciences Po, journalisme, métiers de l’enseignement…) ou à des passerelles vers d’autres cursus.

Dispensée dans les universités publiques, la licence combine cours magistraux, travaux dirigés et évaluations (contrôle continu/partiels), avec un travail personnel soutenu, des projets, des travaux de terrain (TD d’enquête dès la L2) et parfois des stages en L3, ainsi que de la mobilité internationale. Pour aller plus loin : notre page Licence Sociologie, les Licences à l’Université et nos outils (lettres Parcoursup, tests d’orientation).

Pourquoi choisir une licence Sociologie ? Quelles matières et quelles méthodes de travail en L1–L3 ? Comment se passe l’admission sur Parcoursup et quelle est la sélectivité ? Quelles poursuites en master et quels débouchés concrets après la licence ? Voici l’essentiel pour bien comprendre la formation et préparer ton projet.

Dans cet article, nous nous appuyons sur l’interview de deux étudiantes (Cassandra et Romane, Université Lyon 2 Lumière) pour éclairer le programme, les compétences attendues, la sélectivité et les débouchés de la formation.

Thotis te propose gratuitement des outils gratuits indispensables !

Questions fréquentes sur la Licence Sociologie

Qu’est-ce que la Licence Sociologie ?

La Licence Sociologie est un diplôme universitaire de bac+3 (180 ECTS) qui initie aux grands courants de la sociologie et à ses méthodes (enquêtes de terrain, statistiques, analyse de données), avec des ouvertures vers l’anthropologie, la démographie, l’histoire ou la science politique. Elle forme à l’analyse des faits sociaux contemporains et à la démarche scientifique en SHS.

Qui peut intégrer la Licence Sociologie et comment s’y inscrire ?

L’accès en L1 se fait après le baccalauréat via Parcoursup. Des entrées en L2/L3 peuvent exister sur dossier (réorientation, BTS/BUT, autres licences) selon les universités. Les candidatures suivent le calendrier et les modalités publiés par chaque établissement.

Quelles spécialités du bac sont recommandées pour réussir en Licence Sociologie ?

Il n’y a pas de spécialité obligatoire. Les universités et Thotis te recommandent souvent des parcours SES, HGGSP, HLP ou mathématiques (ou maths complémentaires) pour l’appui en statistiques/méthodologie et la culture SHS. Tout profil motivé et prêt à travailler l’écrit et les méthodes peut réussir.

Quel est le programme de la Licence Sociologie (L1–L3) ?

Le tronc commun couvre théories sociologiques, méthodes d’enquête (qualitatives et quantitatives), statistiques, et des enseignements complémentaires (langues, informatique, épistémologie). En L3, des parcours de spécialisation et des projets/stages peuvent être proposés selon les universités.

Suis-je fait(e) pour la licence Sociologie ?

Retire tes doutes en faisant notre Test d’Orientation Parcoursup !

Quel est le rythme de travail en Licence Sociologie ?

Compter en moyenne ~18–25 h de cours par semaine (CM + TD) selon la maquette locale, auxquelles s’ajoutent des lectures, dossiers, analyse de données et préparation d’évaluations (contrôle continu / examens). L’organisation personnelle et la régularité sont déterminantes.

Y a-t-il des stages ou de l’enquête de terrain en Licence Sociologie ?

Oui, la formation valorise la pratique de l’enquête (observations, entretiens, questionnaires) et certaines universités proposent un stage ou un projet tutoré, surtout en L3, pour appliquer les méthodes sur le terrain.

Quelles compétences développe-t-on en Licence Sociologie ?

Compétences clés : analyse et problématisation, méthodes qualitatives et quantitatives (dont statistiques), rédaction académique, gestion et traitement de données, esprit critique et communication écrite/orale.

Quels sont les débouchés après la Licence Sociologie ?

La majorité des diplômés poursuivent en Master (sociologie, démographie, urbanisme, politiques publiques, communication, études de marché, etc.). À bac+5 : métiers d’études et enquêtes (chargé d’études, sondages, observatoires), ESS, culture, aménagement, RH, journalisme spécialisé, ou recherche (doctorat) selon les parcours.

La Licence Sociologie existe-t-elle dans beaucoup d’universités en France ?

Oui, la mention Sociologie est largement proposée dans les universités françaises (ex. Sorbonne Université, Paris Nanterre, Lyon 2, Bordeaux, Lille, Strasbourg…).

Pourquoi avez-vous choisi la licence de Sociologie ?

Cassandra : je suis entrée en licence de sociologie en 2ème année de licence, mais le portail sciences sociales préparait pas mal à ce parcours. Le portail ouvrait principalement sur 4 disciplines : la sociologie, l’histoire, la science politique et l’anthropologie. Si je me suis dirigée en sociologie c’est parce que j’ai toujours été très intéressée par cette matière. J’aime cette idée d’apprendre à comprendre les gens, socialement, la société etc. Et pourquoi une licence, parce qu’en sortant du bac, je n’étais pas très sûre de ce que je voulais faire donc une licence me permettait de voir plus large, d’avoir un horizion plus vaste de possibilités.

Romane : je me suis orientée vers la fac plutôt que de continuer en prépa parce que le rythme de la fac me convenait mieux et laissait plus de temps pour faire des lectures. La fac permet également de plus se spécialiser, notamment en pratiquant réellement la sociologie c’est-à-dire en menant des enquêtes qualitatives et/ou quantitatives et pas seulement en lisant et apprenant des cours. Finalement, la fac propose des évaluations qui mettent moins de pression (pas de DS tous les samedi matin ou de colles toutes les semaines…) et plus diversifiées qu’en prépa.

J’ai choisi de rejoindre la licence de sociologie après ma L2 de sciences sociales car j’avais l’impression que la licence de sciences sociales ne me permettait pas d’avoir une vue globale des matières qui y était proposées. Je voulais mieux comprendre les différents courants et spécialisations de la sociologie, qui était la matière que j’avais préférée en sciences sociales. En effet, c’était la matière qui à mon sens permettait le mieux d’appréhender les thématiques qui nous touchent ici et maintenant, dans nos sociétés occidentales contemporaines. La sociologie me permet de donner sens à beaucoup de choses que je traverse personnellement ou auxquelles je fais face au quotidien. J’aime aussi le fait que ce soit une science très empirique, qui est basée sur le contact avec les gens, et qui permet de rencontrer des personnes différentes de soi.

À qui s'adresse la licence de Sociologie ?

Romane : la licence de sociologie s’adresse, en tout cas à l’université Lumière, aux étudiants étant passés par le portail sciences sociales. Elle s’adresse à des élèves qui sont de fait intéressés par la sociologie, c’est-à-dire l’étude des phénomènes sociaux. Il faut donc avoir un goût pour ce qui touche aux humains et à la façon dont ils vivent dans nos sociétés contemporaines. Le petit plus étant de s’intéresser un minimum à l’actualité ! Je dirais que c’est mieux d’être assez curieux, car la sociologie peut étudier toutes les activités qui se déroulent en société, de la production scientifique aux maladies mentales, en passant par la vie de couple et le travail social. Si vous avez un esprit critique, ou un esprit d’analyse, cette licence peut aussi s’adresser à vous ! Il ne faut pas à mon sens avoir peur de rédiger car beaucoup des travaux que nous avons à rendre sont sous forme rédigée (par rapport à d’autres formations qui peuvent privilégier les QCM ou les exercices pratiques). Il faut également avoir un goût du contact, du fait des travaux de groupe et aussi parce que les enquêtes menées en sociologie impliquent de discuter avec les gens.

Cassandra : Comme le montre le parcours de Romane, la licence est accessible chaque année de licence. De mon côté, pour y entrer, j’ai candidaté sur Parcoursup l’année de mon bac. J’ai été prise pour le Portail Sciences Sociales (il suffisait de remplir un “projet motivé” et de joindre les bulletins scolaires). Puis en fin de 1ère année, au moment des inscriptions pour la L2, il fallait sélectionner quelle licence nous choisissions entre les diverses accessibles par ce Portail (Histoire, Sociologie, Anthropologie, Science Politique, Sciences Sociales) : le seul critère qu’il m’a semblé être appliqué était d’avoir validé sa 1ère année.

Romane : Comme je l’ai indiqué plus tôt, je suis rentrée en licence de sociologie seulement en L3. J’ai dû faire un dossier sur eCandidat, qui comprenait les résultats dans mes années précédentes et une lettre de motivation afin d’expliquer pourquoi je souhaitais intégrer cette formation.

Quelles sont les matières principales dispensées en licence Sociologie ?

En L1, donc l’année du “Portail”, les matières ont des noms qui ne sont pas toujours très clairs mais qui correspondent en fait à de l’histoire, de la sociologie, de l’anthropologie et des sciences politiques. Selon les semestres, les cours sont axés sur tel ou tel auteur, tel ou tel personnage important de la discipline et sur telle ou telle période historique. Il y a aussi un cours de “méthodologie” qui nous aide à appréhender la méthode de la fac.

Aussi, tout au long de la licence, nous avons des cours de “transversales”, communes à toutes les licences. D’abord la langue, que nous choisissons à notre inscription. On peut donc garder la langue que nous apprenions déjà au lycée ou bien se lancer dans une nouvelle langue, car le centre de langues de la fac offre un large choix. On peut également changer de langue d’une année sur l’autre. Il y a également les “TIC”, qui sont des initiations à l’informatique, et notamment à la bureautique.

À savoir également, il est possible de suivre une pratique sportive avec un éventail de sports possibles plutôt fourni ! Et un truc intéressant qui n’est pas forcément dit explicitement, c’est la possibilité de suivre des cours de Langue des Signes Française, c’est une option bonus (donc qui donne des points sur la moyenne seulement si les notes sont en notre faveur). Ça reste à un niveau de découverte mais pour l’avoir fait, c’est vraiment intéressant et sympa !

Y a-t-il différents parcours proposés ? À quel moment se spécialise-t-on ?

Du coup, comme dit plus haut, les parcours peuvent être assez variés, mais un “parcours type” peut être celui-ci : une première année de Portail Sciences Sociales (ou un portail contenant un lien avec la sociologie) puis une L2 et une L3 sociologie.

En L2 on doit choisir une matière “option obligatoire” entre deux disciplines qui ont pu être abordées l’année de portail, qui sont l’anthropologie ou les sciences politiques. Puis en L3, on choisit un cours de “sociologie spécialisée” qui nous permet d’aborder des thématiques précises en sociologie et qui – dans l’optique d’un master de sociologie par exemple – peut aider à construire une réflexion précise pour plus tard. Les thématiques abordées peuvent dont être : la sociologie du travail, des politiques sociales, de la sociologie urbaine, la sociologie du genre…

A Lyon 2, ces options peuvent être remplacées par un parcours que l’on appelle Minerve, qui est un parcours qui permet d’approfondir ses connaissances dans une langue (espagnol ou allemand par exemple).

En lien avec la licence Sociologie : la licence Sciences Sociales 

Télécharge notre guide Parcoursup et reçois 300 exemples de lettres de motivation

Est-il difficile de valider une licence de sociologie ?

En termes de rythme de travail, dès les premières semaines, il faut trouver sa propre organisation et ne pas se dire “on a du temps”. Souvent, au début du semestre, les enseignants vont demander aux étudiants de s’inscrire sur tel ou tel jour du semestre pour rendre un travail ou présenter un exposé. Le piège est de tout mettre le plus tard en se disant que ça laisse du temps, car à la fin du semestre, il y aura les rendus finaux ainsi que les partiels à préparer. Le rythme de travail va varier donc selon les dates de rendus mais aussi selon la manière de travailler de chacun. Le piège est de tout remettre à plus tard en se disant que ça laisse du temps, car à la fin du semestre, il y aura les rendus finaux ainsi que les partiels à préparer.

Pour valider son année, il est nécessaire de valider chaque “UE” (=Unité d’Enseignement). Les UE sont composées pour la plupart de deux matières, et l’UE est validée à partir de 10/20 de moyenne. À savoir que dans l’UE les moyennes des matières se compensent donc si dans la matière A on obtient un 8 et dans la B un 12, l’UE sera validée à 10.

En travaillant, la majorité des L1 passent en L2. En cas de non-validation, il est possible de refaire une L1 ou bien de se réorienter sur une autre L1 ou un autre type d’études.

Il existe également à Lyon 2 la possibilité de passer par “le semestre rebond”. Cela est possible en 1ère année, lors du 2nd semestre, pour les étudiants qui veulent se réorienter au plus vite, en sachant qu’ils ne tiendront pas le reste de l’année. À la fin du 1er semestre, ils peuvent donc “candidater” pour intégrer le semestre rebond qui leur permettra de trouver l’orientation leur correspondant, en étant encadrés.

L’emploi du temps type d’un étudiant en licence de sociologie ; ça ressemble à quoi ?

En termes d’heures de cours, CM et TD mélangés, cela tourne autour d’un peu plus d’une vingtaine d’heures selon l’année.

Les CM (cours magistraux) durent 1h45 par semaine chacun et demandent un temps de travail personnel correspondant à la reprise des cours (l’apprentissage, les retapes, les mises en forme ou fichage) ainsi qu’aux révisions en fin de semestre pour les partiels.

Les TD (travaux dirigés) durent pour la plupart 1h45 par semaine chacun, excepté à partir de la L2 (le TD d’enquête tient un créneau de 3h30 par semaine). Ces cours-là demandent une certaine assiduité dans le travail avec souvent des textes à lire et étudier d’une semaine à l’autre, avec des rendus occasionnels (souvent deux par TD).

À savoir que la plupart des TD sont associés à un CM donc la théorie vue en CM peut servir à l’étude en TD et a contrario la pratique en TD peut servir à illustrer et exemplifier le CM. Par exemple, en TD, on peut se pencher sur l’étude de textes qui ont été évoqués en CM, ou alors mettre en œuvre des techniques d’enquêtes évoquées en CM.

Avez-vous rencontré des difficultés ?

Cassandra : l’une des difficultés est la gestion du temps. En arrivant à l’université, en licence, on est assez libres et moins encadrés, ce qui est plus propice à ne pas travailler ou à tout remettre à plus tard. Il faut donc s’imposer à soi-même un temps pour tout. Ce que j’ai fait c’est que je me suis intégrée à mon emploi du temps, des créneaux de travail personnel, entre deux cours à la BU (bibliothèque universitaire) ou chez moi en rentrant le soir ou le week-end. Comme ça sur ces créneaux c’était comme si j’étais en cours, je me forçais à faire le travail que j’avais que ce soit de la reprise de cours, de l’apprentissage ou des rendus de travail.

« Il faut s’imposer à soi-même un temps pour tout : le travail et les loisirs ».

Romane : en effet, le fait qu’on nous laisse plus de marges de manœuvre rend parfois plus difficile de trouver la méthode qui nous correspond. Par exemple, je n’ai toujours pas trouvé si je préférais me concentrer sur l’apprentissage du cours ou sur des lectures en rapport avec le cours qui permettent aussi de l’assimiler.

Le piège est aussi de ne pas reprendre ses CM au fur et à mesure. On se retrouve assez débordés en fin de semestre s’il faut apprendre tous les cours de CM en une semaine avant les partiels…

Il faut aussi savoir qu’il y a beaucoup de travaux de groupe à l’université, notamment dans les TD. Certains comme moi, préfèrent les travaux de groupe aux travaux individuels, mais il peut être difficile de s’organiser, en sachant que tout le monde n’a pas le même emploi du temps, ni le même rythme de travail… La meilleure solution est alors de se mettre en groupe avec des étudiants qui sont motivés par les mêmes sujets que soi et être prêt à s’adapter au rythme de travail des autres.

Une autre difficulté que j’ai rencontrée en n’ayant pas fait l’intégration de L1, c’est de s’assimiler à la promotion, car l’université ne fonctionne pas par classe, c’est-à-dire que deux personnes d’une même promotion peuvent avoir en réalité peu de cours en commun.

Découvre La licence de Sociologie avec le live de Ali AÏT ABDELMALEK, professeur de sociologie à l’Université Rennes 2

Des questions sur ta poursuite d’études ? Viens discuter avec Thotis.IA, le conseiller d’orientation 2.0 généré par une intelligence artificielle

Que pensez-vous de l’accompagnement des professeurs en licence de sociologie ?

L’autonomie est vraiment le maître. Il faut vraiment faire preuve d’organisation, de gestion. Certains enseignants peuvent être derrière nous, en suivant notre travail, en nous imposant des rendus réguliers pour nous forcer à travailler ; mais d’autres non, nous laissent plus libres en ne fixant pas forcément de date précise de rendu, en disant uniquement “dans le semestre vous me rendrez X choses”. Il faut alors se fixer soi-même des dates, pour ne pas être dépassés à la fin du semestre avec trop de rendus et pas assez de temps.

Les suivis sont quand même globalement plus individualisés en TD, où les élèves sont moins nombreux par groupe alors que les CM regroupent souvent plus d’une centaine d’élèves. Le suivi est donc plus difficile en CM, par exemple on n’a pas forcément de retour précis sur nos partiels en-dehors de la note. Les enseignants ne nous reconnaissent pas nécessairement parmi une centaine de têtes ! En TD, on a plus de retours sur nos travaux et les professeurs nous connaissent mieux, particulièrement dans les TD d’enquête de 4 heures.

Que comptes-tu faire après ta licence de Sociologie ?

Cassandra : Pour ma part, je compte candidater en Master MEEF 1er degré qui est le master permettant de préparer au concours de professeur des écoles. J’avais aussi pensé à un master de Sociologie pour devenir sociologue, chercheuse ; ou bien encore un master de développement social qui permet de travailler auprès de structures sociales. Mais il est aussi possible de changer d’orientation, d’intégrer une autre licence, ou bien une école ou un cursus plus spécialisé dans un domaine. J’avais commencé à envisager une orientation sur des cursus spécialisés de travailleurs sociaux comme éducateur spécialisé par exemple. En fait, avec de la motivation, de l’ambition et de la détermination, il faut se dire que rien n’est fixé et rien n’est impossible. Il faut envisager toutes les possibilités et avoir l’audace de se lancer !

Romane : Je ne sais pas encore exactement ce que je veux faire par la suite. J’envisage d’abord de faire une année de césure dans le cadre du Corps européen de solidarité pour travailler pendant un an dans une association pour voir si travailler dans ce domaine me plaît. En effet, les études de sociologie, surtout après un master, peuvent permettre de travailler dans ce domaine en tant que chargé d’étude par exemple. Mais je réfléchis également à m’orienter dans la recherche, l’un des débouchés privilégiés de la formation universitaire en sociologie, en passant donc par un master de sociologie.

Trouve ta voie avec Thotis Orientation !

Rédige et corrige tes lettres de motivation avec l’IA en utilisant Thotis.LM :

Quels conseils donneriez-vous à un lycéen ?

On lui conseillerait surtout de suivre une voie qui lui plaît ! Étant donné l’autonomie qui est nécessaire en licence de sociologie, il est difficile de se motiver si ce que l’on étudie ne nous plaît pas. On lui conseillerait également d’essayer de bien s’organiser dès le début pour ne pas prendre un retard parfois difficile à rattraper ! Surtout, on lui conseillerait de profiter des échanges avec les autres élèves de sa promotion, car ils sont souvent très enrichissants, tant d’un point de vue humain que d’un point de vue universitaire :).