Le Master Villes et Environnements Urbains est un diplôme universitaire de bac+5 (4 semestres / 120 ECTS) accessible après une licence (Géographie, Urbanisme/Aménagement, Sciences sociales, Architecture, ou Ingénierie) via la plateforme Mon Master. Le cursus associe un tronc commun en M1 (diagnostic territorial, méthodes d’enquête, politiques publiques, climat urbain, cartographie/SIG) et une spécialisation en M2 selon les parcours proposés : planification et aménagement, mobilités et espaces publics, transition écologique & énergétique, résilience et climat, gouvernance urbaine et participation, géomatique/SIG, géoprospective. La formation comprend un mémoire et un stage long (ou une alternance selon les universités), favorisant la mise en situation professionnelle.

Proposé majoritairement dans les universités publiques, le Master Villes et Environnements Urbains combine cours magistraux, travaux dirigés, séminaires et ateliers de projet en partenariat avec des acteurs des territoires (collectivités, agences d’urbanisme, bureaux d’études, entreprises). Il demande un travail personnel soutenu et encourage la professionnalisation (stages, alternance, projets partenariaux). Certains parcours incluent de la mobilité internationale (Erasmus+, terrains, écoles d’été, ateliers internationaux). Pour aller plus loin : notre hub Masters, Guides Mon Master et Annuaire des Masters Villes & Environnements Urbains.

Pourquoi choisir un Master Villes & Environnements Urbains ? Quels parcours et spécialisations (aménagement, mobilités, transition, climat, participation, SIG) ? Comment candidater et quelle est la sélectivité sur Mon Master ? Quels débouchés (urbaniste, chargé·e d’études territoriales, chef·fe de projet transition/mobilités/climat, consultant·e, doctorat) ? Voici l’essentiel pour comprendre la formation et construire ton projet professionnel au service des territoires urbains.

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Le Master Villes et Environnements Urbains est un diplôme national de niveau Bac+5 (M1–M2, 120 ECTS) qui forme à l’analyse, la planification et la transition des territoires urbains. Selon les universités, la mention regroupe des parcours de recherche et/ou professionnels : diagnostics territoriaux, politiques publiques, mobilités, climat urbain, géomatique et participation citoyenne. La scolarité combine enseignements théoriques, ateliers de projet, stage long en M2 et mémoire. Pour des informations précises (UE, volumes horaires, modalités), consulte la fiche officielle de l’établissement visé et la plateforme Mon Master.

La formation s’adresse à des titulaires d’un Bac+3 (180 ECTS) en géographie, urbanisme/aménagement, sciences sociales, architecture, ingénierie ou équivalent. Les départements précisent généralement des attendus (méthodologie, cartographie/SIG, culture des politiques urbaines) et peuvent organiser un entretien. Les profils recherchés articulent intérêt pour les enjeux urbains, compétences analytiques et projet (recherche ou pro) cohérent avec le parcours visé.

La mention propose des parcours (noms et contenus variables selon les universités) couvrant notamment : planification urbaine et aménagement, mobilités et espaces publics, transition écologique/énergétique, climat et résilience, géoprospective, gouvernance et politiques publiques, géomatique/SIG, participation et concertation. Un socle méthodologique (enquêtes, statistiques, cartographie), des séminaires thématiques et des ateliers de projet structurent le M1 ; le M2 renforce la spécialisation et l’orientation professionnelle ou recherche.

• Compétences visées : diagnostic territorial, conduite de projet, SIG/analyses spatiales, évaluation de politiques, écritures cartographiques et restitutions publiques.
• Évaluations : contrôle continu, rendus d’ateliers, soutenances, mémoire.

La formation est majoritairement en présentiel à temps plein. Elle alterne CM, TD, séminaires, ateliers et projets encadrés avec des partenaires (collectivités, agences, bureaux d’études). Compter en moyenne 20–25 h de cours/sem. en complément d’un travail personnel soutenu (lectures, enquêtes de terrain, analyses SIG, rapports). Les maquettes et les règlements d’études précisent la charge de travail et les attendus par UE sur les sites des universités.

La plupart des mentions prévoient un stage long en M2 (souvent 4 à 6 mois) et parfois un stage court en M1. Certains parcours offrent une alternance (selon l’établissement et le statut proposé). Des projets tutorés, ateliers en partenariat et conférences métiers complètent la professionnalisation.

La candidature s’effectue exclusivement via Mon Master pendant la fenêtre nationale (dossier, CV, lettre, pièces complémentaires). Les commissions évaluent la cohérence du projet, le parcours académique, les compétences utiles (méthodes, SIG, écrits), et éventuellement un entretien. La sélectivité varie selon l’attractivité du site et le nombre de places. En cas de non-admission à la phase principale, la phase complémentaire permet de reformuler des vœux.

• Urbaniste, chargé·e d’études territoriales, chef·fe de projet (mobilités, climat/énergie, rénovation urbaine, participation).
• Consultant·e en développement urbain, aménagement, résilience, transition écologique/énergétique.
• Postes en collectivités, agences d’urbanisme, bureaux d’études, opérateurs/entreprises, ONG, instituts.
• Poursuite en doctorat (études urbaines, géographie, environnement) selon le projet scientifique.

De nombreuses mentions encouragent la mobilité internationale (Erasmus+, accords bilatéraux), des terrains et la participation à des réseaux professionnels. Selon les universités : séjours académiques, stages, ateliers internationaux, écoles d’été.

Pour évaluer tes chances selon ton parcours, tes notes et ton profil, tu peux utiliser le Prédicteur Master Thotis.