Virginie, Céline et Gabrielle font partie de l’équipe du Tutorat Lyon Est. Elles ont accepté de nous donner leurs conseils pour réussir PACES à Lyon.
Article rédigé à l’époque de la PACES.
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Partie I : Comment réussir PACES à Lyon Est :
Comment s’organisent les premières semaines à Lyon ?
La première semaine de Septembre s’organise autour de pré-rentrées. Tout d’abord la pré-rentrée du tutorat, pour aider chacun à se préparer au mieux au début des cours. Le tutorat y donne des conseils, quelques cours, quelques méthodes d’organisation et de travail. Nous organisons aussi une petite épreuve à la fin type concours. Tout ceci dans le but de montrer au futur étudiant ce que l’on attend de lui durant l’année. Evidemment cette pré-rentrée Tutorat est ouverte à tous, Primants et Doublants et est gratuite.
Bien s’organiser est très important durant cette année. Avoir un rythme défini, une routine, travailler de manière régulière, et non désordonnée.
Ensuite il y a la pré-rentrée de la faculté. Elle consiste en une demi-journée où le doyen accueille tous les étudiants en amphithéâtre. Il leur fait un discours d’encouragement et les présente au corps enseignant. C’est donc après cela, au début de la deuxième semaine de septembre qu’ont lieu les premiers cours.
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Trois conseils du Tutorat pour s’intégrer ?
Il semble essentiel de bien rappeler qu’il n’y a pas de “conseil absolu” pour réussir PACES à Lyon Est et que chacun est différent.
La sociabilisation :
Il est très dur de rester seul face à la pression de la première année ; c’est pourquoi il ne faut pas avoir peur de se tourner vers vos pairs en amphi, ou de poser des questions autour de vous.
La routine :
Elle vous aidera à ne pas perdre le rythme. Cette routine englobe le travail mais aussi l’hygiène de vie. Certains sont capables d’étudier dès 6h du matin, d’autres seront plus efficaces dans la soirée. Trouver son rythme passe aussi par trouver la durée des plages de travail et donc le temps de pause que l’on s’accorde. Garder un bon rythme de sommeil et manger des plats équilibrés qui vous font envie est une bonne manière de garder le moral. Pour certains, il est essentiel de faire du sport, ou de passer du temps en famille. Ces moments seront probablement votre source de motivation et de réconfort lors des coups durs, alors mieux vaut tout de suite les intégrer à votre routine.
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Pas De Panique :
La charge de travail et le rythme des cours peuvent sembler insurmontables les premières semaines, mais si vous gardez votre routine et que vous ne baissez pas les bras vous allez très vite vous adapter. Les premières épreuves et classements peuvent être une grande source de stress pour vous. Mais ne vous laissez pas démonter. Les classements de votre début d’année ne seront pas les mêmes que ceux de la fin. Tout se joue sur la constance du travail et sur la motivation alors “Keep Calm and Ouvrez Vos Polys et Gardez Confiance”.
Quelles sont les erreurs à ne pas commettre ?
Ce qu’il faut principalement retenir c’est que la première année est éprouvante et que la santé physique et mentale est à privilégier quoi qu’il arrive et doit passer avant les résultats ou le concours.
Donc la première erreur est de tout simplement oublier de prendre soin de soi ; ne pas prendre de pause, négliger son sommeil et son alimentation. C’est une question d’équilibre : si l’on est en forme, on travaille mieux et plus efficacement alors que si on se sent exténué physiquement ou émotionnellement, il est vraiment très difficile de retenir la moindre information.
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La deuxième erreur est la perte de confiance en soi et tomber dans le “cercle vicieux du mauvais stress”. C’est normal de ne pas être très performant les premières semaines de l’année de primant ; il faut apprendre de ses erreurs, essayer de ne pas les reproduire et surtout ne pas se sentir nul parce qu’on fait des erreurs. Il faut garder en tête que lorsqu’on a de mauvais résultats, ce n’est pas parce que l’on est mauvais mais parce que l’on n’a pas suffisamment appris/compris ce point de cours.
Pour réussir PACES à Lyon Est, il faut comprendre que cette première année va pousser vos limites et qu’il faut se protéger en prenant soin de votre corps et de votre esprit, en tâchant de rester performant dans son travail. Il faut se créer une atmosphère positive en prenant en compte ses échecs et ses réussites.
Comment bien s’organiser et ne pas céder à la pression ?
Bien s’organiser est très important durant cette année. Avoir un rythme défini, une routine, travailler de manière régulière, et non désordonnée.
Mais avant de commencer l’année, il est important de bien se préparer en août : se préparer au stress, réfléchir à une méthode de travail, identifier si l’on est plus du matin ou du soir, savoir de combien d’heures de sommeil on a besoin, connaître les fluctuations de notre efficacité selon la journée). Pour tester tout cela, le mieux est de commencer à apprendre des cours, faire des exercices pendant quelques jours/une semaine, en testant par la même occasion, son lieu de travail : est-on mieux à la bibliothèque universitaire (BU), chez soi ou autre ? Attention, la BU est petite, elle est donc souvent remplie !
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Il n’y a pas de matière à privilégier, TOUTES doivent être travaillées de manière la plus équitable possible, pour avoir un classement à peu près semblable dans chaque matière, c’est l’objectif que l’on doit se fixer même si on arrive pas toujours à l’atteindre. Il ne faut pas se bloquer sur une matière parce qu’on a eu une mauvaise note ou qu’elle fait peur, qu’on ne l’aime pas. Attention à celles qui semblent trop faciles, pour lesquelles on pense ne pas avoir besoin de travailler !
La pression n’est que celle que l’on se met. A Lyon-Est, il n’y a pas de bizutage, les amphithéâtres sont calmes, les autres étudiants relativement bienveillants. Même s’il y a de la rivalité, elle n’est pas apparente et l’ambiance est bonne, y compris entre primants et doublants.
1. Méthode Céline :
Je faisais une méthode des J approfondie : à J0 (le jour-même où le cours a été fait par le professeur), j’apprenais le cours. Je le révisais le lendemain (J1), puis J3, J7, J14, J28… Quand les cours s’accumulaient, je me focalisais sur les cours que je connaissais moins. Je faisais en parallèle les épreuves du tutorat et quelques QCM d’annales sans les faire en entier. Fin octobre (S1) et courant mars (S2) je commençais à faire les annales en condition concours (en plus de la révision) ; je faisais chaque annale 2 à 4 fois dans le semestre.
2. Méthode Virginie :
Je faisais des boucles : je révisais toute une matière en 2-3 jours ou plus selon le volume de celle-ci. Et je répétais mes boucles de révision tout au long du semestre. Cela a été possible quand j’ai redoublé ma première année car je connaissais déjà les cours donc je n’avais qu’à les réviser ! Pour les primants, la méthode de Céline est sans doute plus appropriée !
3. Méthode Gabrielle:
L’après-midi j’apprenais les cours du matin. Et je prévoyais la soirée pour approfondir éventuellement les cours de la semaine, faire des QCM et des épreuves du tutorat. Je prévoyais le weekend pour revoir les cours que je n’avais pas compris, pas bien appris, pour faire des exercices et faire tout ce que je n’avais pas eu le temps de faire durant la semaine. Un mois avant le concours je commençais mes révisions. Je faisais un système de boucle par matière durant deux semaines : je faisais deux fois le programme en deux semaines. Durant les deux dernières semaines avant le concours, je faisais les épreuves d’annales le matin ainsi que leur correction ; l’après-midi je continuais mes “tours de programme” en appuyant sur les parties encore un peu floues.
Vos recommandations sur les sorties et le mode de vie à adopter ?
Comme dit précédemment, la routine est le maître mot. Il faut s’en créer une. Ce n’est pas grave si on ne la trouve pas immédiatement. L’essentiel est de tendre à la trouver le plus tôt possible et qu’elle nous mette en confiance pour réussir.Concernant les sorties, cela est propre à chacun. Certains se détendront le soir en regardant des séries, d’autres en faisant du sport dans la semaine.
Il ne faut pas culpabiliser lors d’une pause, car cela ne fait que la gâcher et on ne se repose finalement pas. Au bout du compte, ce temps est perdu : on n’a pas travaillé mais on ne s’est pas détendu pour autant. Il est tout à fait possible de se laisser une ou deux après-midi(s)/journée(s) entière(s) par mois, le problème n’est pas le nombre de pauses faites (même s’il faut rester raisonnable). Mais si cela nous permet d’être plus heureux et efficace quand on se remet à travailler.
Le mode de vie sera donc personnel, on peut se comparer aux autres, mais nos besoins sont différents donc ne pas hésiter à être différent des autres ! Pour rappel, les cours en amphithéâtre ont lieu le matin, l’après-midi est libre.
– Journée de cours : réveil à 7h pour les cours de 8h15 à la faculté puis pause du midi de 12h30 à 14h. J’apprenais les cours faits le matin de 14h à 17-18h puis je faisais une pause de 15 min avant d’enchaîner sur les cours des autres jours (sur la méthode des J) ou en faisant des annales jusqu’à 21h. A partir de 21h, je prenais mon repas et je regardais une série ou sortais avec des amis jusqu’à 22h30-23h.
– Journée de révisions (je travaillais exclusivement chez moi) : réveil à 7h et je commençais à travailler à 7h30. Jusqu’à 10h30 je révisais les cours d’une seule UE, puis de 10h45 à 13h j’en révisais une autre. Je prenais ma pause du midi de 13h à 14h. De 14 à 18h je faisais des annales en conditions concours ou je révisais une grosse UE. Après une pause de 15/20 min, je travaillais jusqu’à 21h en faisant des annales. Je mangeais à 21h puis je regardais des séries jusqu’à 23h.
-Réveil à 7h30 (j’ai la chance de ne pas habiter très loin de la fac et d’avoir des collègues d’amphi qui supportaient mon retard quotidien). Cours de la matinée (8h15-10h15 puis 10h30-12h30) suivi du déjeuner et du déplacement vers une autre bibliothèque que celle de la faculté de médecine jusqu’à 13h30.
-L’après-midi je travaillais de 13h30 à 15h puis pause de 30 min et reprise de 15h30 à 18h. Cela forme deux grandes plages horaires pour travailler les deux cours du matin. A 18h je grignotais jusqu’à 19h (1h de pause). Puis reprise de 19h jusqu’à maximum 22h (heure de fermeture de la bibliothèque) où je travaillais les choses mal comprises/apprises et où je rattrapais mon retard pris dans le semaine. C’était une plage horaire un peu plus “cool” où je discutais parfois avec mes amis et où on se posait mutuellement nos questions.
-Retour chez moi à 22h30. Ma petite “récompense” de la journée était une séance cinéma dans mon canapé. J’adore regarder des films et des séries, je l’ai donc précieusement intégrée à mon emploi du temps. Je finissais ma journée vers minuit.
–Pendant une semaine de cours normale : cours le matin en amphi jusqu’à 12h30 (j’avais déjà pris de l’avance et appris les cours qui allaient être faits en amphi), puis repas et je faisais une sorte de sieste (ou du moins je restais à ne rien faire et à ne penser à rien dans mon lit, pour me détendre seulement jusqu’à 13h30-14h). De 14h jusqu’à 19h-20h j’apprenais et révisais mes cours (sous forme de boucles comme je l’ai dit précédemment). Je révisais donc une même matière toute la journée. Cela ne me posait pas de souci, au contraire, ça me motivait à fond, je me fixais des objectifs : essayer de finir toute une matière en une journée par exemple (si j’avais envie de me lancer un gros challenge) ou au moins réviser jusqu’à certain chapitre.
Certains étudiants ont pu réussir PACES à Lyon Est en ayant fait une autre filière que S ; d’autres en ayant de mauvais résultats scolaires au lycée.
C’est gratifiant quand on atteint son objectif. Ça apporte aussi de la confiance pour la suite. Je faisais des pauses tout au long de l’aprèm, de 5-10 min, de manière non définie. Cela m’aidait à me motiver et à enchaîner les chapitres car je savais qu’au suivant ou dans 2-3 chapitres je ferais une micro-pause, sorte de « récompense », ce qui pousse à agir. Puis le soir je mangeais, me lavais (ça prenait 1h environ) et ensuite je retravaillais de la même manière jusqu’à 22h30. Pour cela j’étais très régulière. Toute l’année je me suis levée à 7h30 et je me suis couchée à 22h30. Je dormais bien et je m’endormais vite vu que j’étais régulière. Cela m’a donné un rythme, ce qui est très important en première année.
– Les week-ends : Je faisais comme le reste de la semaine sauf que bien évidemment je révisais aussi le matin. Toute l’année j’ai eu l’impression d’être en révision car je ne faisais que réviser et c’est la clé du succès ! Quand on comprend et connaît ses cours il n’y a pas de mystère, ça paie… Je faisais aussi des exercices, des morceaux d’annales (dès le début de l’année) et je corrigeais ma colle du tutorat que j’avais faite le lundi en amphi.
– Pendant les semaines de révision : cela ne me changeait pas beaucoup du reste de l’année, je faisais exactement les mêmes horaires, les mêmes révisions en boucle, et quelques jours avant le concours, une fois que j’avais fini de réviser pour la dernière fois tous mes cours, je faisais les annales (pour la deuxième fois du coup). »
Quelles sont les spécificités de la PACES à Lyon ?
Il faut savoir qu’il y a deux facultés de médecine à Lyon aux fonctionnements différents ; ici nous parlerons de Lyon Est. Les cours se déroulent tous les matins sur 4h (deux créneaux de 2h séparés d’une pause de 30 min) au S1 et au S2. Des ED (enseignements dirigés) d’une durée maximale de 2h sont possibles l’après-midi. Il y en a environ 10 par semestre. Ce sont des séances en amphithéâtre de 200 où les professeurs expliquent les notions importantes et les exercices types de leur cours.
Concernant le programme, à Lyon Est, la physique (UE3) se retrouve à la fois aux semestres 1 et 2 (S1 et S2). Le S2 est composé majoritairement de matières à connaître par cœur, à l’exception de la SSH (UE7) composée uniquement d’une dissertation.
D’autres informations sur le Tutorat Lyon Est ici
Réussir PACES à Lyon est-il possible, quel que soit son background ?
Certains étudiants ont pu réussir PACES à Lyon Est en ayant fait une autre filière que S ; d’autres en ayant de mauvais résultats scolaires au lycée. Il y a des gens dans nos promotions qui ont déjà eu un métier, d’autres qui ont fait une réorientation ou des passerelles. Nous avons des étudiants étrangers ou en situation de handicap qui passent le concours et qui réussissent brillamment. Tout le monde peut réussir PACES à Lyon Est, rien n’est écrit.
Est-il encore possible de réussir PACES à Lyon Est sans payer les prépa privées ?
Au départ, les prépas privées ont été créées pour apporter une aide aux étudiants civils. Les santards (étudiants en santé dans l’armée) avaient à disposition des professeurs dans leur caserne qui leur expliquaient les différentes notions du programme.Désormais, les services du tutorat sont amplement suffisants pour permettre à un(e) étudiant(e) de réussir.
Au Tutorat de Lyon Est, nous proposons une pré-rentrée (une pour les primants, une pour les doublants), des épreuves hebdomadaires de type concours, des concours blancs, des groupes d’accompagnement du travail, des polycopiés (cours faits par les professeurs écrits et mis à jour par nos tuteurs)… L’inscription à notre tutorat se fait de façon concomitante à celle de la faculté et est gratuite. Beaucoup de gens réussissent sans prépa privée : on ne peut acheter sa réussite que par le travail.
Vidéo bonus « Comment bien aborder la PACES »
Partie II : Le Tutorat Lyon Est
Le tutorat Lyon-Est est un tutorat institutionnel. Nous faisons partie intégrante de la faculté de Lyon-Est et nous travaillons en étroite collaboration avec le corps enseignant de la première année. C’est une organisation composée d’étudiants de deuxième et troisième année (toutes filières post-concours confondues) qui a pour mission de donner toutes les chances au plus grand nombre et de pouvoir préparer gratuitement et sereinement le concours de première année.
Quelles sont vos missions ?
Nous avons donc une mission de soutien des étudiants de première année que nous organisons de différentes manières. Tout d’abord évidemment le soutien scolaire : avec des polycopiés que nous écrivons avec les enseignants et qui sont remis à jour chaque année (et évidemment si un cours est complètement modifié nous sommes là pour le retranscrire dans les quelques jours qui suivent), des épreuves (“majeures”: en amphithéâtre le lundi soir, et “mineures”: sur internet à faire quand on le désire) et des Concours Blancs.
Nous proposons aussi des séances de questions-réponses certains soirs de la semaine si les étudiants ont des questions très récurrentes ou pour transmettre des méthodes de résolution d’exercice, par exemple. Nous avons tout de même mis en place un Forum sur le site internet de la faculté pour pouvoir répondre dans les plus courts délais aux questions des étudiants (entre 24 à 48h de délais maximum). Il existe aussi un système de Groupe de travail, où un étudiant de seconde année prend sous son aile cinq étudiants de première année et leur donne rendez-vous hebdomadairement pour les aider de manière personnalisée.
Il n’y a pas que le travail dans la vie d’un étudiant, et le tutorat est donc là pour tous les autres moments. Nous organisons donc des ventes de crêpes le lundi soir avant l’épreuve majeure de la semaine, ainsi que des séances de sport collectives où nous allons courir, faire du foot ou des jeux en plein air durant l’année. Nous avons créé cette année une nouveau Pôle au tutorat qui est le pôle Bien-être : en charge d’organiser des activités pour la santé physique et mentale de nos étudiants.
Pourquoi recommandez-vous aux étudiants de s’inscrire au Tutorat ?
Je recommande le tutorat car il fournit une aide complète, couvrant tous les aspects de la première année : polycopiés, entraînements, forum où l’on peut poser des questions, cours du soir, groupes de travail pour favoriser la rencontre et l’entraide, pré-rentrées, et des petits bonus comme des séances de sport que nous animons, des goûters où l’on fait des crêpes. Il est gratuit, ouvert à tous, il n’y a pas d’inscription à réaliser, chacun peut en bénéficier avant même le début de l’année (avec notamment les pré-rentrées).De plus, tout est suivi de près par les professeurs réalisant le concours, ce qui nous donne une crédibilité et une représentativité du concours, que les prépas privées ne pourront jamais s’offrir.
Quelles sont vos relations avec le corps professoral de l’Université de Lyon ?
Nous avons une relation de proximité avec le corps professoral de l’université, ces mêmes professeurs qui composent le concours que passeront les étudiants, relisent les épreuves d’entraînement que nous faisons, nous aident à proposer des exercices qui se rapprochent de ceux du concours, relisent nos polycopiés de cours dispensés par eux-mêmes en amphithéâtre.Le Tutorat est grandement soutenu et motivé par le coordinateur de la première année ainsi que le doyen de la faculté de médecine.
3 atouts du tutorat de Lyon Est ?
L’accessibilité : prôner l’égalité des chances est l’enjeu principal de notre tutorat. Nous proposons des services gratuits accessibles à tous les étudiants inscrits en première année. De plus, notre local et tous nos événements se déroulent à la faculté. Nous sommes joignables à la fois au sein de la fac et par mail, mais également sur les réseaux sociaux : Facebook, Twitter, Snapchat et Instagram.
Disponibilité : un forum est mis à disposition pour que les tuteurs puissent répondre à chaque question. Pour les questions plus techniques et axées administration, le Facebook du tutorat est là pour y répondre 7j/7.
Proximité avec le corps enseignant : nos épreuves et nos polycopiés sont relus par les professeurs des chapitres concernés. Ils nous apportent une aide non négligeable et répondent à nos questions. De plus, il y a une vraie collaboration entre professeur et tuteur pour les concours blancs de SSH ; ceux-ci sont créés par une participation entre le tutorat et les professeurs.
Plus personnellement, qu’est-ce que vous apporte d’aider les 1A ?
Nos tuteurs et nos responsables sont des étudiants bénévoles. Ce sont tous des étudiants ayant vécu la première année et ayant connaissance de ses difficultés, pièges et des solutions pour y palier. C’est, tout d’abord, un désir d’optimiser l’égalité des chances mais également une envie de reprendre le flambeau des tuteurs qui nous ont aidé durant notre (nos) première(s) année(s). Enfin, c’est gratifiant de voir la satisfaction des étudiants face à nos travaux et de les voir passer en deuxième année. Voir des étudiants réussir PACES à Lyon Est est très motivant !